Il est utile de se demander, comment est-il
possible de garder les traditions religieuses, sans effacer la frontière qui les sépare
du renouveau de la raison.
Les suggestions que nous transmet l'histoire peuvent nous aider, plus au moins à y parvenir. Il faut mettre en garde la société en général contre ce courent qui tente de classer les principes naturels de la moralité pour secondaire "tout en donnant cette priorité à la raison" , quand il s'agit de la moralité individuelle (mon corps ,mon droit) d'un autre coté sauver les contenus de la foi ( comme s'est dit expressément dans le livre sacré) contre le scepticisme est l'incroyance, faire en sorte que les obligations religieux forment les limites de la simple raison, il y reste donc beaucoup à remuer. Ce que nous voyons sur les espaces publics aujourd'hui redonne à la déduction de la religion une triste actualité, les temps des lectures qui affirment est confirment, même d'une manière agressive , sans conviction de son sujet "l'homme" est révolu, nous avons intérêt à ancrer les contenus coraniques à la lumière de la raison parce que la raison pure pratique ne peut pas être parfaitement sure, a l'aide des outils dont elle dispose, elle peut même conduire à controverser la modernisation qui tend à sortir des rails. A partir de nos ressources propres, on doit créer un langage qui ouvre au monde, rappelons ce mot de Kant, je cite "il est aisé de penser la morale de l'égal respect pour chacun indépendamment du contexte religieux dans lequel elle s'enchâsse" les slogans que nous voyons dans la rue, inspirés de ce que nos filles et femmes supposent faire de leurs sorts, ne peuvent rien changer quant au contenu des lois morales dont le législateur n'est nul autre que dieu, la religion concerne les devoirs en général dans lesquels la philosophie ne peut pas représenter qu'une partie de l'éthique, la religion il n y'en a qu'une qui est vraie, elle n'a pas besoin de la raison que dans la mesure ou elle s'ancre dans l'intimité du cœur des croyants. Apres ces prémisses vient le rôle des penseurs ,des philosophes qui ne sont que des instruits par la raison, par des écritures, par l'interprétation du livre sacré, ce que les génies doivent faire est, de fondre la morale de l'homme dans la religion sinon la raison laissée à sa liberté sans limite, n'aboutira qu'a mettre un terme à la pratique, ce que nous voyons dans le monde occidental, dépouillé de la foi au profit du matérialisme sans pitié.
Lahoucine Masmodi
Les suggestions que nous transmet l'histoire peuvent nous aider, plus au moins à y parvenir. Il faut mettre en garde la société en général contre ce courent qui tente de classer les principes naturels de la moralité pour secondaire "tout en donnant cette priorité à la raison" , quand il s'agit de la moralité individuelle (mon corps ,mon droit) d'un autre coté sauver les contenus de la foi ( comme s'est dit expressément dans le livre sacré) contre le scepticisme est l'incroyance, faire en sorte que les obligations religieux forment les limites de la simple raison, il y reste donc beaucoup à remuer. Ce que nous voyons sur les espaces publics aujourd'hui redonne à la déduction de la religion une triste actualité, les temps des lectures qui affirment est confirment, même d'une manière agressive , sans conviction de son sujet "l'homme" est révolu, nous avons intérêt à ancrer les contenus coraniques à la lumière de la raison parce que la raison pure pratique ne peut pas être parfaitement sure, a l'aide des outils dont elle dispose, elle peut même conduire à controverser la modernisation qui tend à sortir des rails. A partir de nos ressources propres, on doit créer un langage qui ouvre au monde, rappelons ce mot de Kant, je cite "il est aisé de penser la morale de l'égal respect pour chacun indépendamment du contexte religieux dans lequel elle s'enchâsse" les slogans que nous voyons dans la rue, inspirés de ce que nos filles et femmes supposent faire de leurs sorts, ne peuvent rien changer quant au contenu des lois morales dont le législateur n'est nul autre que dieu, la religion concerne les devoirs en général dans lesquels la philosophie ne peut pas représenter qu'une partie de l'éthique, la religion il n y'en a qu'une qui est vraie, elle n'a pas besoin de la raison que dans la mesure ou elle s'ancre dans l'intimité du cœur des croyants. Apres ces prémisses vient le rôle des penseurs ,des philosophes qui ne sont que des instruits par la raison, par des écritures, par l'interprétation du livre sacré, ce que les génies doivent faire est, de fondre la morale de l'homme dans la religion sinon la raison laissée à sa liberté sans limite, n'aboutira qu'a mettre un terme à la pratique, ce que nous voyons dans le monde occidental, dépouillé de la foi au profit du matérialisme sans pitié.
Lahoucine Masmodi
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